Vers une viticulture régénérative ?
Réduire les intrants chimiques est un premier pas, mais certains vignerons vont plus loin en s’engageant dans des pratiques régénératives. L’objectif ? Non seulement diminuer l’impact de la viticulture, mais aussi restaurer les sols et écosystèmes autour des vignes.
Par exemple, en Wallonie, de plus en plus de domaines se lancent dans l’agroforesterie, une technique qui consiste à planter des arbres au milieu des rangées de vignes. Résultat : une meilleure gestion de l’eau, une protection contre l’érosion des sols et une augmentation de la biodiversité.
Ces démarches demandent parfois des investissements importants et une dose d’expérimentation, mais elles s’inscrivent dans une logique de long terme, où terroir et environnement redeviennent indissociables.